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? The Housemaid ?
Ce classique du cinéma coréen est,ray ban pas cher, en fait tout sauf classique ! Il s'agit d'un mélodrame sauvage, fauché,lunettes ray ban, réalisé par un cinéaste dont les films ne sont connus en Europe que par une poignée d'assidus des festivals. Les cinéphiles pourraient y déceler un lointain cousinage avec un mélo délirant de Douglas Sirk (? ?crit sur du vent ?), mais tourné avec les moyens d'une série B à la Samuel Fuller, ou, en France, avec les premiers films de Georges Franju ou Claude Chabrol. Le Bu?uel du ? Journal d'une femme de chambre ?,Gafas ray ban, le Pasolini de ? Théorème ?, le Losey de ? The Servant ? et l'?uvre de Fassbinder convoquent des thèmes similaires, mais les esthétisent ou les intellectualisent, alors que le traitement de Kim Ki-young est d'une crudité brute et explosive. Le noir et blanc violemment contrasté, les cadrages voyeuristes, le décor minimal qui tend vers le huis-clos,carrera brillen, le jeu survolté des acteurs : tout contribue à faire de ? La Servante ? un film culte,carrera 2013, naviguant périlleusement entre sublime et grotesque, tout en transgressant les tabous d'une société coréenne occidentalisée,ray ban outlet, embourgeoisée. L'encadrement du récit,carrera pas cher, pour calmer la censure, par un prologue et un épilogue faussement moralisateur ne fait qu'ajouter à la bizarrerie sardonique de l'exercice. En 2010, le talentueux Im Sang-soo lui rendait hommage en présentant au Festival de Cannes un remake glacial et post-moderne,oakley pas cher, ? The Housemaid ?,ray ban outlet, et il récidiva cette année avec un jubilatoire sequel,lunette ray ban, ? L'Ivresse de l'argent ?.
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