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la Joconde
Bilal est au Louvre Il photographie pr de 400 oeuvres embl sous un angle souvent d inattendu. Il en choisit 23, qu fait tirer sur des toiles de 50 x 60 cm. Sur ces tirages,Les Fant?mes du Louvre, il peint l et au pastel 23 fant sont des femmes, des hommes,oakley 2013, des enfants. Ils sont morts depuis longtemps,oakley, souvent de mani violente Ils sont l romain,soldes oakley, muse, peintre, officier allemand Ils errent au Louvre pr de l qui les a marqu jamais, qui a fait basculer leur vie : la Joconde,oakley 2013, la Victoire de Samothrace, un Christ couch un buste la Chambre alc Bilal les a immortalis en personnages comme autant d errantes. Il a subtilement jou sur le faire appara pour finir par leur donner une pr singuli forte. Et il relate leur vie. Des biographies,oakely pas cher, dramatiques comme il se doit, qui croisent la v historique, et souvent la cr de l Les toiles de Bilal seront pr au Louvre, au sein de la prestigieuse salle des SeptChemin Une exposition exceptionnelle pour un travail magistral dont la technique ne permet pas le droit lfautil que vous soyez obtus ou imbus de votre personne pour porter un tel jugement. Je viens d voir vos et bien un conseil si je peux me permettre, restez où vous êtes et n sortez pas ! Il ne vous sera sans doute jamais proposé d au Louvre, et c tant mieux ! C pour la petite pique personnelle .
Quand à Bilal, il était du XXème et aujourd du XXIème siècle,Les Fant?mes du Louvre, c un contemporain créatif, qui a son univers.
Que dire d de Goya et consorts ? La même chose . A chacun son siècle et son univers. Ces peintres que vous aimez tant étaient eux aussi décriés par des incultes de votre rang, et pourtant, ils ont traversé le temps jusqu nous.
Longue vie à Mr Bilal, dont je vais de ce pas admirer son travail.
Bilal au Louvre. Vous en portez la responsabilité. Ce projet est une insulte à l à l aux artistes,oakley pas cher, à la critique, à l et au simple bon sens. C une insulte à nos capacités de connaissance, d de savoir et de discernement. C une insulte au Louvre comme à celles et ceux qui, depuis des siècles, se sont mobilisés pour en faire la vitrine de la création que les siècles nous ont léguée.
Vous avez cédé à la pression de ce versant de notre modernité qui monnaye son image et celles qu produit et s à subvertir les institutions pour en recueillir reconnaissance et marché.
A supposer que vous ayez vu une oeuvre de Vinci,oakley, de Poussin,oakley pas cher, de Chardin, de Goya, vous n avez rien retenu. A preuve, vous rangez Bilal dans le même Panthéon ; vous confondez oeuvre et écume ; vous confondez pensée à l et démarche populiste ; tout discernement critique vous manque et ce qui ravit les adolescents actuels ne saurait être sur le champ l de l institutionnelle. Le Louvre !
Bilal ? Ce n rien. Au mieux,oakley, des images. Médiocres, normalisées, vises,oakley pas cher, sinistres. Elles ne comportent ni chair,?oakley lunettes, ni cet ingrédient qui nous permet de distinguer une illustration d oeuvre touchant à la plénitude de son projet.
Vous faites moderne. Vous en êtes persuadé. Ce faisant, vous faites entrer au Louvre, d geste sans pensée, tout ce que les oeuvres du Louvre, toutes, repoussent, refusent, ne sauraient en aucun temps accepter : l le médiocre, l la mal peint, le mal dessiné,lunette oakley, le ni fait ni à faire.
Bilal convient aux étals des marchands de BD. Vous lui avez offert le Louvre. Et la confusion des niveaux,oakley 2013, des esprits, du sens des oeuvres, porte désormais un nom, le v?tre. Comment peuton, à votre place, rabaisser ainsi le niveau de ce que l cherche et parvient à atteindre.
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