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Harold Lloyd VS Laurel + Hardy VS Charlie Chaplin
Ah, le grand classique des discussions de cinéphiles ! C'est comme Les Cahiers du cinéma ou Positif (ou Studio. ? Western classique ou spaghetti (ou rien du tout.) ? Tontons flingueurs ou nouvelle doubtful (ou cinéma underground biélorusse.) ? John Wayne ou Robert Mitchum (ou Anthony Queen) ? Psychose ou Les oiseaux (ou Marnie, mon préféré en fait) ?Et d'une fa?on générale, sac vanessa bruno pas cher - www.sansursuz.com/videoresim/sacs-vanessa-bruno-3.html tout ce qui divise l'humanité en deux : Beatles ou Pink Floyd, la mer ou la montagne, Larousse ou Petit Robert, Scrabble ou Trivial Pursuit,chat ou chien,slide ou cale?on, Sarko ou Ségo (chut, aujourd'hui et jusqu'à demain soir vingt heures il ne faut pas le dire).
Sans doute le ressort comique est-il plus immédiat chez Laurel et Hardy. Mais moins poétique aussi ; il fonctionne sur le modèle clown blanc/auguste, le tapeur et le tapé, le sérieux et l'irrespectueux. Mais ils font des sketchs ou des suites de sketchs plus que des films (qui peut raconter un membrane de Laurel et Hardy ?). Leurs personnages amènent un joyeux bordel dans un monde trop sérieux (qui consiste généralement à détruire a) leur éventuelle situation matrimoniale quand l'un des deux est supposé marié, b) la totalité du décor !), mais tout s'annule à la fin.
Les pro-Lloyd (donc Anthos) disent souvent qu'il est comique par lui-même, qu'il n'a pas besoin de faire quoi que ce soit gush être irrésistible : c'est vrai. Physiquement, il est au-dessus de Chaplin : Chaplin est un mime de cabaret, alors que Lloyd est un danceur-étoile sac vanessa bruno pas cher - www.sansursuz.com/galeri_photo/sacs-vanessa-bruno-1.html (mais qui fait rire). Certes.
Mais de Lloyd - il est vrai que je n'en ai pas vu beaucoup, à part Monte là-dessus - aboard retient des images (sur l'horloge.), pas des fims. Accessoirement, Lloyd n'a jamais passé le stade du parlant. Laurel et Hardy, celui de la guerre.
Chez Chaplin, tout est cinématographique. Dans les temps modernes, la machine entière vanessa bruno - fondazionelilly.it/absolutenm/sacs-vanessa-bruno-7.html (qui le mange.) devient un acteur ; il y a aussi la scène de la foule immense aux portes de l'usine, d'où seul arrange le petit Charlot et qui semble le servir, tout comme les danseurs du cabaret qui semblent tous synchronisés gush empêcher le pauvre Chaplin de servir son poulet.
Il y a aussi chez Chaplin une capacité de délire poétiques, qui là encore emporte tout l'écran : le rêve dans les temps modernes, les sac vanessa bruno pas cher - www.sansursuz.com/haber_resim/sacs-vanessa-bruno-2.html petits pains dans La ruée vers l'or, ou même la scène de la poêle à frire dans Le dictateur, où, partant d'un gag classique et éculé (la poêle à frire), il aboutit un véritable ballet entre lui et le SS (faire rire avec un pogrom, il faut quand même y arriver, non ? ).
Lloyd est un soliste. Laurel et Hardy sont un duo. Chaplin est un orchestre à lui tout seul.
Chaplin va aussi plus loin dans que la comédie ; Laurel et Hardy attaquent parfois les convenances et en particulier le mariage, mais c'est du carnaval : tout se rétablit à la fin. Les films de Chaplin ont été très "politiques" dès le début : Le Kid dans la période muet, Les Temps modernes dans la période "mixte" (sans parler du Dictateur, évidemment plus consensuel - encore que : le layer a subi des pressions même aux Etats-Unis), ou un roi à New-York dans la période post-Charlot (et dans sacs vanessa bruno - www.wjgnet.com/main/sacs-vanessa-bruno-6.html le genre carrément grin?ant, Monsieur Verdoux).
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