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dont au moins 17 seraient dans un état critique.
Consternation et indignation dominent, ce mardi 16 avril 2013, aux Etats-Unis au lendemain de la double explosion qui a frappé le marathon de Boston, le jour du Patriot's Day. Selon un dernier bilan provisoire,longchamp outlet, trois personnes auraient péri, et 176 seraient blessées, dont au moins 17 seraient dans un état critique.
Les détonations, survenues à quelques secondes d'intervalle sur la ligne d'arrivée de la course, qui avait attiré des dizaines de milliers de spectateurs,occhiali ray ban, constituent le plus grave attentat sur le sol américain depuis le renforcement de la sécurité consécutif aux attaques du 11 septembre, et un choc considérable aux Etats-Unis.
Les autorités américaines ont immédiatement réagi, ordonnant un renforcement de la sécurité à travers le pays. Peu après, s'adressant solennellement à la télévision aux Américains sonnés par les images diffusées en boucle de panique, de colonnes de fumée et de spectateurs ensanglantés à la fin du plus ancien marathon des Etats-Unis, le président Barack Obama a indiqué que ses services ne savaient pas ? qui a fait cela, ni pourquoi ? et appelé ses compatriotes à ne ? pas tirer de conclusions h?tives (…) Mais ne vous y trompez pas, nous irons au bout de tout cela. Tout individu,lunette carrera, tout groupe responsable sentira le poids entier de la justice ?, a assuré le locataire de la Maison-Blanche qui n'a pas voulu donner d'indications quant aux pistes suivies. De son c?té, le FBI a demandé aux témoins sur place d'envoyer toutes photos et vidéos prises avant et après les explosions, et a annoncé que l'enquête pourrait prendre des dimensions mondiales.
Pour l'heure, les investigations se poursuivent, et aucune indication sur l'origine de ces explosions n'a filtré. Aucune revendication n'a non plus été diffusée. Et beaucoup de questions restent encore sans réponse, alors que le spectre du terrorisme tient à nouveau l'Amérique en haleine.
6 h 30 : il fait encore sombre quand le président des Etats-Unis, en tenue de jogging, court en foulées rapides au milieu des bougainvilliers, entouré d'agents secrets qui lui éclairent le chemin. L'aube se lève doucement sur la Floride… 23 h 08 : pieds nus,carrera outlet, en short, son chien dans les bras, suivi de sa femme et de son chat, George W. Bush dévale les escaliers de la Maison-Blanche vers le bunker souterrain, sous le regard inquiet de ses gardes du corps. C'est la dernière alerte de cette terrible journée. Que s'est-il passé entre ces deux moments ? Dans les tours en flammes, à l'intérieur des quatre avions détournés, mais aussi à bord d'Air Force One, à la Maison-Blanche, au Capitole, au Pentagone, dans les bases aériennes, les avions de chasse,oakley outlet, les tours de contr?le, les abris où le gouvernement s'est réfugié ? Qu'ont fait le président, les ministres, les élus, les militaires, les services secrets ? Voici le récit complet et stupéfiant d'un jour de chaos : l'histoire vraie du 11 septembre.
Dans son premier livre, Au nom d'Oussama Ben Laden - préparé dès les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, en 1998, et paru à la veille du 11 septembre 2001 -, Roland Jacquard avait, le premier,lunette ray ban, révélé qui était Ben Laden et anticipé les plans du chef d'Al-Qaida.
Dans son deuxième ouvrage, Les Archives secrètes d'Al-Qaida, l'auteur disséquait la nouvelle organisation des radicaux islamistes. Coécrit avec le journaliste Atmane Tazaghart, ce troisième livre dévoile les secrets de la traque de Ben Laden ainsi que les noms et les projets des nouveaux chefs d'Al-Qaida. Outre les nombreuses sources auxquelles ils ont eu accès dans les milieux antiterroristes occidentaux,lunette ray ban boutique, arabes et asiatiques, les auteurs se sont appuyés sur les témoignages inédits de membres des réseaux d'Al-Qaida, en liberté ou en prison. Un dossier secret, des faits, des noms,lunette oakley, des documents, des révélations qui vont plus loin que toutes les commissions d'enquête.
L'intervention de Roland Jacquard a été très documentée et intéressante, mais je souhaite cependant faire les deux observations suivantes sur ses précisions concernant l'interpellation en mars 2013 à Marignane de 3 émules djihadistes prêts à passer à l'action violente :
La DCRI n'a pas découvert 150 kg de TATP (peroxye d'acétone) mais 40 à 50 gr,carrera lunettes site officiel, soit 3750 à 5000 fois moins qu'indiqué par Roland Jacquard qui a d? confondre avec les 150 Kg de nitrate (ex. engrais) saisis. Les terroristes utilisent généralement le TATP comme explosif primaire faiblement dosé (quelques grammes suffisent) pour amorcer des charges principales secondaires (Cf. la tentative de destruction du vol American airlines 63 Paris-Miami le 22 décembre 2001 par le "Shoe Bomber" Richard Colvin Reid ). L'extraction artisanale à hauteur de 150 kg de TATP,ray ban pas cher, prendrait des semaines, voire des mois.
Sauf erreur que j'admettrai volontiers, aucun des 3 islamistes arrêtés ne semblerait être "chimiste professionnel" comme signalé, 2 étant de jeunes marginalisés (18 et 20 ans) et le 3ème étant cité comme un prothésiste dentaire de métier (27 ans), cette profession ne requérant pas une formation supérieure complète en chimie.
Ceci dit, il ne fait aucun doute que vu leur quantité totale, les produits découverts pouvaient causer de très importants dommages, et il est heureux que la DCRI ait mis hors d'état de nuire ces dangereux individus avant la commission d'attentats.
Chapeau monsieur CALVI ! Sans y faire attention, j'avais entendu christophe NAUDIN évoquer l'option d'un mohamed MERAH local au cours de votre émission, en disant que la piste intérieure extreme droite était peu probable. Apparemment, c'est tres exactement cela : 2 tchetchenes, fabnatiques islamistes, sympas, aux USA depuis 10 ans, qui sont devenus hyper dangereux. Cela prouve une fois de plus que vous savez choisir vos invités et que c'est ce qui fait la qualité de votre émission. J'ai bien récouté l'émission en replay. C'est pile ce qui a été dit avec 3 jours d'avance. Grand bravo à vous et votre rédaction!!!
Cette attenta de Boston n'est pas dramatique, comme l'a dit Obama, mais une "Infamie" comme Roosevelt l'avait évoqué lors de l'attaque de Pearl Harbour. Nicole Bacharan me semble être mal informée, Beaucoup d'analystes Américains trouvent que l'utilisation des ? drones ? pour tuer n'est pas la bonne tactique pour combattre le terrorisme et Al Qu'A?da. Tuer enlève la possibilité d'interroger donc de faire du renseignement. Cette attenta aurait pu être dans un radar de renseignement donc évité. Obama ne veut pas de prisonnier, une question de droit de l'homme. Mais tuer lui parait plus économique politiquement parlent. L'une des contradictions d'Obama.
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